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« Économisez au moins 25 % d’engrais avec le même rendement en amidon »

Pour une application plus précise de l’engrais de démarrage sous forme de granules pendant le semis, Kverneland a mis au point une nouvelle technique que l’entreprise appelle “Pudama”. Comme l’engrais est placé de manière très précise juste à côté et en dessous des graines, la plante en bénéficie pleinement. Le système peut être monté sur le semoir traîné Optima SX et, à partir de 2025, sur le semoir de précision porté Optima F avec des disques semeurs à entraînement électrique. Cette machine est très intéressante pour le Benelux : équipée du système Geoseed, elle place automatiquement les graines des rangs adjacents dans la bonne position les unes par rapport aux autres.

« Cette nouveauté technique provient directement de la pratique », explique Rick de Groot à propos de Pudama. De Groot est chef de produit Benelux chez Kverneland Group à Dronten. « Kverneland a demandé à l’Université de Cologne de déterminer quels sont les goulots d’étranglement dans la culture du maïs ensilage. Il ressort que parmi ceux-ci, l’emplacement et la quantité d’engrais appliquée en tant qu’engrais de démarrage sont les plus importants. En effet, si vous pouvez garantir le même rendement et la même quantité d’amidon avec moins d’engrais de démarrage, vous pouvez appliquer l’engrais économisé à un autre moment ou ailleurs sur votre exploitation, si nécessaire. »

Les recherches de l’université de Cologne ont permis à Kverneland de développer un système dans son usine de Soest, en Allemagne. Celui-ci ne dépose plus l’engrais de démarrage à côté et sous les graines de maïs sur une bande continue, mais plutôt de manière très précise juste à côté et sous les semences. « Le fait qu’on ne mette plus d’engrais sur une partie du rang ne semble pas impacter le rendement final, selon les recherches de l’Université de Cologne. Cela permet en outre d’économiser jusqu’à 25 % d’engrais, que vous pouvez éventuellement utiliser plus tard ou ailleurs. Grâce à une valve pneumatique qui s’active 25 fois par seconde et à une brosse en forme d’entonnoir dans le soc d’engrais, celui-ci est appliqué avec une grande précision à des endroits précis, en combinaison avec une ligne de semis SX », explique De Groot.

Prévenir la perte et le lessivage d’engrais

Avec Pudama, les granulés d’engrais sont déposés de manière à ce que les radicelles des jeunes plants puissent atteindre les nutriments. Les cultures en profitent donc de manière optimale et l’on évite le lessivage des précieux engrais. Il est ainsi possible de réaliser des économies d’engrais ou d’utiliser cette marge excédentaire pour fertiliser les prairies.

Un semis de maïs tout aussi précis

Le système Pudama pourra être livré à partir de 2025 sur le semoir de précision Kverneland Optima F, qui convient au semis d’une variété de cultures, dont notamment le maïs. La machine est maintenant sur le marché depuis 20 ans. Ce semoir est équipé de disques semeurs à entraînement électrique, qui permettent l’utilisation de Geoseed. Ce système place automatiquement les graines des rangs adjacents dans la bonne position les unes par rapport aux autres. Geoseed niveau 1 permet de créer une configuration de semis en triangle ou carré dans la largeur de travail. Avec Geoseed niveau 2, la configuration choisie est synchronisée avec le passage suivant, car le semoir mémorise la position du moteur de chaque disque semeur. C’est le cas pour chaque passage, et pour l’ensemble du champ, à l’exclusion des tournières (s’il y en a). Il y a une condition préalable, à savoir de ne pas sauter de passage. Grâce à Geoseed 2 vous pouvez également biner de manière perpendiculaire ou en diagonale par rapport à la direction du semis et en fonction de la distance entre les graines.

Voici le schéma de la technique Pudama. Le système ne dépose plus l’engrais de démarrage à côté et sous les graines de maïs sur une bande continue, mais plutôt de manière très précise juste à côté et sous les semences.
On voit ici le système Pudama sur une rangée de semis SX avec le tuyau d’alimentation, en dessous/derrière la valve pneumatique et sur la droite, en noir, le soc d’apport d’engrais.


Entreprise de travaux agricoles Wassink, Lattrop-Breklenkamp (province néerlandaise de l’Overijssel)

Dans la région de Lattrop-Breklenkamp à Twente, l’entreprise de travaux agricoles Wassink a commencé à semer du maïs ensilage avec son Kverneland Optima F SX de facture récente. L’exploitation sème environ 450 à 500 hectares de maïs et de haricots par an sur des parcelles de 2,5 à 3 hectares en moyenne. « Nous avons mis cette machine en fonction en 2023. Auparavant, nous faisions les semis avec un Optima HD+ depuis 11 ans », explique Bertil Wassink qui, avec un collègue, se charge de tous les semis de maïs.

« Comme nous pouvons désormais rouler plus vite, nous avons augmenté notre capacité »

« Nous voulions attendre encore un an avant de procéder à la reprise, mais le concessionnaire nous a fait une offre intéressante. Nous voulions une machine avec plus de capacité, mais finalement nous avons opté encore une fois pour une machine à huit rangs, car on trouve surtout des petites parcelles dans notre région. Grâce au système de semis SX, nous pouvons désormais rouler plus vite et avons augmenté notre capacité de travail. Auparavant, nous roulions au maximum à 7,5 kilomètres par heure, contre 10 à 13 km/h aujourd’hui. L’utilisation de l’Optima F est aussi simple que celle de notre précédent semoir : on peut régler le semoir correctement et avec précision, et il conserve une belle constance dans la profondeur et la distance entre les graines. Jusqu’à présent, un seul disque semeur, à savoir le 32/50, nous suffisait, mais je remarque que les semences de maïs sont de plus en plus petites depuis quelques années. Nous allons peut-être devoir passer à un autre disque semeur, un de ces jours », déclare Wassink, qui avait mis en place un système de microgranules avant la saison. « Nous remarquons que l’enrobage des semences est bien moins efficace qu’avant contre les taupins. Nous ajoutons donc maintenant des microgranules derrière la roue de pression, et de l’engrais liquide immédiatement après le disque de coupe. Jusqu’à présent, l’Optima F nous convient très bien, nous n’avons encore eu aucun problème avec. »


Avec Kverneland Optima F, semez le maïs et appliquez l’engrais en ligne avec une précision extrême

Entrepreneur en travaux agricoles David Elsen, Holsbeek (Brabant flamand)

Chez le revendeur Elsen Traktor, un semoir Optima F flambant neuf est prêt pour l’entrepreneur David Elsen (aucun lien de parenté). Le conducteur habituel de l’entreprise, Kristof Boon, commencera à semer du maïs à partir de la deuxième quinzaine d’avril. Il s’attend à une forte demande de semis de maïs dans la région en 2024.

Nous nous sommes entretenus avec Kristof Boon pendant qu’il semait des betteraves avec un Kverneland Monopill. Il nous a expliqué que l’entreprise de travaux agricoles dispose aussi de deux semoirs Kverneland. « Mais le plus ancien a maintenant couvert environ trois mille hectares et ne peut pas différencier les zones. Le plus récent, un Optima HD, n’a pas de bacs à l’arrière pour apporter des microgranules, or c’est une demande de plus en plus fréquente des agriculteurs. C’était donc le bon moment de faire reprendre notre plus ancien semoir, au profit du nouveau semoir Optima F. »

« Une demande de plus en plus forte d’apport de microgranules »

Selon Boon, la demande de microgranules est due au fait que la fertilisation devient de plus en plus difficile. « En particulier dans les champs de maïs lors des années sèches, les engrais n’ont pas complètement disparu du sol lorsque les échantillons sont prélevés. Les granules d’engrais permettent de mieux doser les quantités d’engrais de démarrage dès le départ. Par ailleurs, il nous semblait logique de choisir encore une fois un semoir Kverneland : nous sommes satisfaits de la marque et n’avons jamais eu de problèmes, pendant toutes ces années. »

Le directeur de l’entreprise, David Elsen, discute à l’avance de l’achat d’une telle machine avec Kristof, qui est l’employé qui s’en sert le plus. Ce dernier ne voyait guère de raisons de changer de marque, lui aussi. « Nous avons été contents de la marque Kverneland jusqu’à présent et le concessionnaire dispose de toutes les pièces de rechange courantes. »


Texte : René Koerhuis et Gerben Hofman | Image : René Koerhuis, Seppe Deckx et Kverneland Group