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Prendre les coûts en compte lors de l’acquisition d’un système automatique d’alimentation

Lorsque la famille Hampsink déménagea en 2008 de Twente (province d’Overijssel aux Pays-Bas) vers le village d’Emmer-Compascuum (province de Drenthe), elle construisit une nouvelle étable, pour le confort des éleveurs et des animaux. Cette étable moderne favorise grandement l’efficacité et le plaisir du travail ainsi que le bien-être du bétail. L’automatisation y est devenue incontournable.

 

Transition vers la traite robotisée

La traite automatisée coïncida avec le déménagement. Depuis, l’alimentation a également été automatisée, comme l’explique Peter Hampsink: «Ce qui nous a convaincus de sauter le pas, c’était la réduction de la charge de travail et la baisse des dépenses en diesel que cela permettait. Si l’on prend en compte les économies réalisées, l’affouragement automatisé est un investissement rentable.»

 

Peter et Hetty Hampsink, ainsi que leurs enfants Gijs (28 ans), Dieke (26 ans) et Janne (24 ans) sont originaires de Twente. «Nous avions un troupeau de 90 vaches, mais sans possibilité de nous étendre en raison du plan d’aménagement restrictif de la région.» C’est ainsi que la famille est partie s’établir dans la province de Drenthe où une nouvelle étable vit le jour en 2008 pour y loger les 130 vaches laitières. En 2014, la construction d’une étable pour le jeune bétail a permis l’accroissement du troupeau à 240 aujourd’hui.

 

Outre l’exploitation laitière, Gijs a sa propre entreprise de distribution des produits de production laitière Milrite Interpuls, qui compte 4 salariés. «Cette activité prend beaucoup de temps, ce qui nous a amenés à engager deux collaborateurs à temps plein dans notre exploitation laitière», ajoute Peter, qui travaille par ailleurs à temps partiel pour l’entreprise de son fils.

Coûts du travail et consommation de diesel    

 

Etant donné que les éleveurs emploient du personnel, ils savent très exactement quels sont les coûts du travail. «C’était une des raisons pour laquelle nous avons automatisé l’alimentation du bétail. Ce choix nous a permis d’économiser non seulement sur le coût du travail, mais également sur  la consommation de diesel.»

 

Le système d’alimentation Vector

 

Voilà quelque temps que Gijs lorgnait le système d’alimentation automatique Vector. «Après l’avoir comparé avec d’autres systèmes d’affouragement automatique, nous avons constaté que le Vector convenait le mieux à notre ferme. Il peut se déplacer librement, ce qui est très important dans la configuration qui est la nôtre. Qui plus est, au niveau prix, c’était le plus intéressant. Il s’agit d’un investissement rentable. Il suffit de prendre en compte tous les frais qu’engendre une mélangeuse-distributrice et dans notre cas un chargeur télescopique, des équipements pour lesquels la main-d’œuvre et le diesel sont des postes de coût importants. Nous avons beau travailler avec des salariés, mais même si ce n’était pas le cas, il faudrait compter nos propres heures de travail.»

 

«Nous économisons de 12.000 à 13.000 euros sur le coût du travail.»

 

Ce système automatique d’alimentation fonctionne depuis mai 2018, à la plus grande satisfaction de nos interlocuteurs. «Nous consacrons beaucoup moins de temps à nourrir le bétail, ce qui se traduit par des économies de 12.000 à 13.000 euros sur le coût du travail. En plus, la différence en achat de diesel est de 10.000 euros par an! Par semaine, nous consacrons environ 6 heures au remplissage et au nettoyage de la cuisine d’alimentation. Le système fonctionne bien. Nous éprouvons peu de difficultés et en cas de défaillance, nous pouvons résoudre nous-mêmes le problème.»

 

«Le système répond amplement à nos espérances », poursuit Peter. «Nous avons choisi le Vector en fonction du prix. Nous constatons que les vaches, qui ont en permanence du fourrage frais à leur disposition, ont adapté leur comportement en ce sens qu’il y a beaucoup moins de concurrence au cornadis et que l’étable est plus calme.»

Route d’hiver et route d’été

 

«Dans l’étable à logettes 0+6+0, nous nourrissons trois groupes: les vaches hautes productrices, les faibles productrices et les vaches taries. Et dans l’étable du jeune bétail, le Vector nourrit deux lots. Installée à côte de l’étable des vaches laitières, la cuisine d’alimentation approvisionne deux cuves qui alimentent les différents groupes. «Chez nous, le Vector se déplace beaucoup, c’est pourquoi nous travaillons avec deux cuves. Et comme la réserve se trouve à l’intérieur, nous gagnons beaucoup de temps.»

 

Comme Peter Hampsink pratique le pâturage, le Vector a une route d’hiver et une route d’été. «En été, le Vector a un parcours un peu plus long, parce qu’il ne peut pas passer derrière l’étable. Mais cela ne représente pas grand-chose en terme de capacité.» Les vaches peuvent entrer et sortir librement jour et nuit et le Vector affourage au cornadis. Autrement dit, en tenant compte du pâturage, la distribution des aliments se fait dans les proportions exactes.

Avenir

 

Pour les années qui viennent, ces éleveurs se concentreront sur l’optimalisation de leur exploitation. «Nous visons une production plus élevée de l’ordre de 12.000 kg de lait par vache et par an, en préservant les teneurs en matière grasse et en protéine, tout en diminuant les coûts des aliments», poursuit Peter. La succession dans son exploitation est assurée, ce que Gijs confirme: «L’avenir nous dira comment se fera la combinaison entre les deux entreprises.»

 

Données de l’exploitation laitière Hampsink

Peter et Hetty Hampsink, ainsi que leurs enfants Gijs (28 ans), Dieke (26 ans) et Janne (24 ans) exploitent une ferme laitière à Emmer-Compascuum. Ils détiennent 240 vaches et 130 unités de jeune bétail et disposent d’une superficie de 88 hectares. La moyenne de la production se situe à 11.400 litres par vache, à 4,20 % de matière grasse et 3,43 % de protéine. L’âge moyen des vaches est de 4,09 ans et le taux cellulaire est de 140.

 

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